Sachez qu’il est possible de sensibiliser soi-même les enfants à l’art et à la culture sans nécessairement payer des cours. Il suffit d’adopter quelques gestes et de choisir des activités intéressantes pour développer leur imaginaire, leur curiosité et bien plus encore…  

 

Mieux comprendre l’importance de l’éveil culturel et artistique  

L’éveil culturel et artistique est essentiel au développement de la sensibilité et de la personnalité des plus petits. Par le biais de la création, ils sont en mesure de développer leur imagination, mais aussi leur curiosité et leur esprit critique. Finalement, ce type d’activités permet de développer le lien social, l’empathie ou encore la communication. Voilà pourquoi il est conseillé de cultiver cet éveil dès le plus jeune âge.  

 

Réaliser des sorties culturelles  

Pour commencer la sensibilisation de votre enfant, vous pouvez l’emmener dans des expositions ou encore des musées adaptés à son âge. Il existe parfois des visites spécialement conçues pour les petits ou encore des associations proposant des sorties culturelles pour les enfants. Renseignez-vous et invitez votre bambin à vous suivre dans les visites de châteaux, de lieux culturels et tout autre événement en lien avec l’art.  

 

Proposer des activités diverses et variées à la maison  

Modelage en pâte à sel, après-midi poterie avec de la terre autodurcissante, peinture et autres ateliers DIY sont des activités utiles à la culture de l’éveil artistique. Prenez le temps d’organiser des petits rendez-vous créatifs avec vos enfants. Durant ces ateliers, ils pourront découvrir le pouvoir de la création et passer un moment unique en votre compagnie.  

 

Évoquer les formes et les couleurs avec les enfants  

Les enfants sont très expressifs et, la plupart du temps, on bride leur sensibilité. Tentez au contraire de les aider à cultiver cet esprit émerveillé en étant attentif à leur réaction. N’hésitez pas à parler des couleurs, à montrer des paysages, à évoquer les formes. C’est une bonne manière de susciter un intérêt pour la nature, la beauté du monde ou encore le développement de la curiosité.  

 

Discuter et partager pour en tirer un maximum de bénéfices  

Lorsque l’on prend conscience que l’art et la culture sont de jolies manières de développer la créativité, l’imagination et le bien-être des enfants, il convient de les cultiver. Pour cela, discutez avec eux et laissez-les exprimer leur imaginaire et leur sensibilité. Vous pouvez remplacer le livre du soir par des histoires racontées à voix haute et à l’élaboration desquelles ils peuvent participer.  

Entre symboles intemporels et origines modernes 

Ainsi, Noël est porteur de nombreux symboles : le sapin de Noël, la crèche disposée à ses pieds avec les cadeaux, la couronne de l’Avent, le gui et bien entendu, le père Noël qui apparaît quelque fois aux yeux émerveillés des enfants, sont autant d’emblèmes à ce point ancrés dans notre imaginaire collectif qu’on les croirait issus d’un passé immémorial. Et pourtant, certaines traditions ne sont pas si anciennes : initialement apanage des classes supérieures sous l’égide des protestants allemands, la tradition du sapin de Noël dans l’ensemble des foyers ne s’est popularisée que dans la seconde moitié du XXe siècle. Le calendrier de l’Avent est un ajout récent qui a déjà eu le temps de muter ; à l’origine dévolu aux chocolats, le contenu des emballages s’est étendu à des confections plus inattendues, comme des thés, bières, ou même produits cosmétiques. 

Le réveillon : entre héritage culinaire et tendances écoresponsables 

Les traditions sont souvent vouées à des réinventions dictées par les évolutions contemporaines, voire « l’ère du temps ». C’est le cas aujourd’hui de l’instant phare de Noël : le repas du réveillon. Pendant longtemps, la coutume commanda que l’on prépare huîtres, foie gras ou saumon fumé, dinde, et bûche, menu plus ou moins figé selon les foyers. Aujourd’hui, les recettes ont tendance à se diversifier, qui pour inclure des options végétariennes, qui pour refléter des engagements écologiques, ou tout simplement pour agrémenter les plats d’une touche gustative audacieuse et insoupçonnée, marqueur d’une société prisant le mélange des genres. 

Une tradition réinvestie par la société de consommation 

Si Noël est une fête toujours très largement célébrée à travers la France, la perception qu’en ont les Français a évolué, et reflète les préoccupations contemporaines. Ainsi, si Noël est toujours attendu par les Français, une fraction de plus en plus large de la population estime que l’aspect commercial a pris le dessus sur l’essence originelle. Cette fête, autrefois centrée sur des valeurs religieuses, a été investi par le champ commercial de la (sur)consommation, et si les valeurs de partage et le plaisir des retrouvailles sont toujours ancrés, l’offre de cadeaux parfois considérée comme une obligation contraignante dans l’agitation consumériste qui précède le festin, peut être différemment perçue au sein de la population, notamment facteur de stress ou d’appréhension. 

Noël sous l’égide de la conscience écologique 

Enfin, Noël moderne est marqué par une sensibilisation accrue aux enjeux écologiques qui essaiment dans de nombreux foyers et engendre une évolution des pratiques. Ainsi, une part de plus en plus importante de Français optent pour des cadeaux de seconde main, des emballages réutilisables, transformant l’acte d’offrir en geste éthique. Les sapins artificiels gagnent du terrain dans les logements, et des initiatives locales sont lancées aux six coins de l’Hexagone pour collecter et recycler les sapins naturels une fois les fêtes achevées. 

Un miroir d’évolutions sociétales 

Au-delà de la fête connue de tous, Noël est, à l’instar d’autres événements, une loupe posée sur notre société qui en dévoile petit à petit les évolutions. Entre éléments et représentations plus ou moins immuables et pratiques réinventées, Noël se veut le miroir d’évolutions sociétales, mais une chose est sûre : c’est également l’occasion de se reconnecter à ce qui compte vraiment, le plaisir d’instants de partage et convivialité avec nos proches. 

 

Et vous, comment célébrerez-vous les fêtes ? Partagez votre vision en participant à notre questionnaire ! 

10 jours de gel perdu par rapport à 2014 

Pourtant, le réchauffement climatique exerce une influence bien tangible sur la saison hivernale, et perturbera de plus en plus les écosystèmes, avec de fortes répercussions sur les paysages, les végétaux, les animaux, ou le cycle de l’eau. Selon un rapport publié ce mardi 17 décembre par groupe scientifique Climate Central, la France a perdu 10 jours de gel en moyenne annuelle depuis 10 ans. Cette tendance s’accroît à mesure que l’on remonte vers les pays d’Europe du Nord ; ainsi, ce sont le Danemark ou les pays baltes qui s’avèrent les plus touchés. 

Un impact sur l’agriculture et les cultures vivrières 

Un réchauffement considérable qui met à mal les cycles de cultures de fruits, noix et légumes, en privant les arbres de périodes froides suffisamment longues indispensables à leur floraison une fois les beaux jours revenus. Ainsi, la culture de certains fruits (pommes, abricots) sera déplacée vers le Nord depuis un Sud devenu trop aride ; les vignobles et la production du vin devraient connaître le même destin, alors que l’effet généré par les gels sur les vignes peut se révéler désastreux pour les récoltes. 

Les effets en chaîne d’une succession d’hivers plus doux 

Bien entendu, cette menace plane sur les sports d’hiver et le tourisme en altitude qui pourraient se voir délester d’une partie de leur manne financière. Mais au-delà de ces créations humaines que d’aucuns jugeraient dispensables, ce sont bel et bien de nombreux écosystèmes qui se retrouveront perturbés ; les problèmes posés couvrent un large spectre, de l’approvisionnement en eau, à la prolifération de maladies dont les insectes vecteurs étaient traditionnellement contenus durant les épisodes de froid, en passant par l’augmentation des allergies saisonnières dues à une période prématurée et étendue de libération de pollen. 

À l’avenir : la raréfaction des hivers rugueux 

Enfin, pour les hivers à venir, qui dit « saison plus douce » dit « températures moins froides, plus de pluie et moins de neige », et donc une certaine raréfaction de l’eau due à une fonte moindre. Est-ce pour autant la fin du frimas et des étendues immaculées qui ont bercé notre imaginaire ? Évidemment non, de même que les épisodes de pluie estivale ne vont pas cesser du jour au lendemain. En revanche, et ce tant que les émissions de dioxyde de carbone et autres gaz à effet de serre ne seront pas réduites, la hauteur de neige moyenne continuera globalement de diminuer au fur et à mesure des hivers. Cela ne signifie pas pour autant que d’une année sur l’autre, on ne pourra pas observer de variations, même sensibles. Un hiver fortement enneigé est toujours susceptible d’advenir, même en période de réchauffement climatique. Ce qui continue de diminuer, à terme, c’est la fréquence d’apparition de ces épisodes hivernaux frisquets, ainsi que l’épaisseur des manteaux de neiges, ce qui n’ira pas sans bouleverser les écosystèmes concernés. 

Agir dès maintenant pour préserver les paysages et les écosystèmes 

Pour enrayer, ou du moins limiter ces mauvais augures climatiques, les meilleurs atouts demeurent de suivre les préconisations du Giec ou autres spécialistes des mutations environnementales, comme le plafonnement des émissions de gaz à effet de serre, la diminution progressive et rapide du recours aux combustibles fossiles (pétrole, charbon, gaz), ou l’atteinte de la neutralité carbone à l’horizon 2025. 

Principes et avantages des coopératives alimentaires 

Les coopératives alimentaires reposent sur des principes de fonctionnement participatif et démocratique. En adhérant à une coopérative, les membres deviennent à la fois clients et acteurs de leur alimentation. Ils s’engagent ainsi à participer au bon fonctionnement de l’organisation, que ce soit par des actions bénévoles, la participation à des décisions collectives, ou des investissements financiers. 

Ce type de structure offre plusieurs avantages : 

• Qualité des produits : les coopératives privilégient souvent des produits locaux, biologiques et équitables, avec une attention particulière portée à leur provenance et aux conditions de production. 

• Économies réalisées : en supprimant les intermédiaires et en impliquant les membres dans la gestion, les coopératives permettent de proposer des produits à des prix compétitifs. 

• Cohésion sociale : l’implication des membres favorise les échanges et renforce le lien social au sein de la communauté. 

Une consommation responsable et locale 

Les coopératives alimentaires mettent en avant la dimension responsable et locale de leur mode de consommation. En choisissant de soutenir les producteurs locaux, elles contribuent au développement économique du territoire et réduisent l’empreinte écologique liée au transport des marchandises.  

De plus, elles permettent de valoriser des savoir-faire et des traditions culinaires régionales, tout en garantissant une traçabilité et une transparence accrues sur l’origine des produits. 

Des économies pour tous 

En évitant les marges des intermédiaires et en privilégiant une gestion solidaire, les coopératives alimentaires permettent de réaliser des économies pour leurs membres. Ce type de structure offre un accès à des produits de qualité à des prix souvent inférieurs à ceux pratiqués dans les supermarchés traditionnels. Il est ainsi possible de consommer mieux et moins cher, tout en soutenant une économie locale et durable. 

Exemples de coopératives accessibles 

Les coopératives alimentaires sont accessibles à différents types de publics, et proposent des initiatives s’adaptant aux besoins et aux spécificités des populations locales. Voici quelques exemples : 

• Les coopératives urbaines : elles se développent dans les grandes villes et proposent une offre diversifiée et de qualité, adaptée à une clientèle citadine. 

• La Louve (Paris) : une coopérative pionnière en France, offrant une large gamme de produits issus de l’agriculture biologique et du commerce équitable. 

• SuperQuinquin (Lille) : coopérative lilloise proposant une offre diversifiée de produits locaux et responsables. 

• Les coopératives rurales : implantées dans les zones rurales, elles favorisent les circuits courts et les relations de proximité avec les producteurs locaux. 

• La Chouette Coop (Ariège) : située en milieu rural, elle met en avant les produits locaux et favorise les circuits courts. 

• La Carline (Drôme) : coopérative axée sur les produits biologiques, locaux et équitables dans la région de la Drôme. 

• Les coopératives spécialisées : elles se concentrent sur des produits spécifiques (bio, sans gluten, etc.) pour répondre aux attentes de consommateurs en quête de produits adaptés à leurs besoins et préférences alimentaires. 

• Les coopératives en ligne : elles proposent une plateforme numérique pour faciliter l’accès aux produits locaux et responsables, sans nécessiter de se déplacer en magasin. 

• La Ruche qui dit Oui ! : plateforme en ligne permettant aux consommateurs d’acheter directement auprès des producteurs locaux et de récupérer leurs commandes lors de distributions organisées près de chez eux. 

• Locavor : réseau de points de vente en ligne, où les consommateurs peuvent commander des produits locaux et les récupérer dans des points de distribution de proximité. 

Les coopératives alimentaires offrent une structure de substitution aux, ou complémentaire des supermarchés traditionnels, en permettant de consommer de manière plus responsable, locale et économique. Elles favorisent la qualité des produits, les circuits courts et la cohésion sociale, tout en octroyant à leurs membres la capacité de faire des économies. Accessibles à différents types de publics, les coopératives alimentaires se développent partout en France et contribuent à l’émergence d’un modèle de consommation plus durable et solidaire. 

Avant Noël 

Planifiez rigoureusement vos repas pour éviter les excès. Commencez par élaborer votre menu de Noël puis réalisez une liste de courses précise, en tenant compte du nombre d’invités. Cette démarche vous permettra d’acheter uniquement les produits dont vous avez besoin tout en faisant des économies. Pensez à examiner les catalogues promotionnels des magasins proches de chez vous. La conservation est également un élément clé de la lutte contre le gaspillage, renseignez-vous bien sur la meilleure manière de conserver chaque aliment pour éviter de devoir les jeter avant Noël. 

Pendant Noël 

L’implication de vos invités est cruciale. Avant le repas, informez vos convives de votre volonté de réduire le gaspillage. Proposez un buffet où chacun se sert selon ses envies, ce qui évite les assiettes surchargées. À la fin des festivités, permettez à vos invités de repartir avec ce qui n’aura pas été consommé.  

Après Noël 

Même avec la meilleure planification, il y aura probablement des restes. Plutôt que de les jeter ou de manger la même chose pendant trois jours, pensez aux dons alimentaires à des associations caritatives. Vous pouvez aussi réinventer vos restes pour vos repas du midi de la rentrée. 

Vous pourrez, par exemple, réutiliser la viande avec les légumes restants qui peuvent être transformés en purées. Si vous ne pouvez pas tout consommer rapidement, pensez à les congeler. 

  

Vous avez désormais toutes les clés pour un repas de Noël économique et responsable. Puisque réduire le gaspillage alimentaire ne doit pas être une préoccupation limitée aux fêtes, pourquoi ne pas prendre comme bonne résolution d’appliquer ces conseils tout au long de l’année 2025 ? 

Les plantes résistantes au froid  

 Certaines plantes, comme les choux, les poireaux, la mâche, l’endive, le radis et la patate douce, sont naturellement résistantes au froid et peuvent même prospérer pendant les mois les plus froids. Opter pour ces plantes permet de réaliser des économies en évitant l’achat de matériel supplémentaire pour leur protection hivernale. De plus, leur capacité à prospérer pendant les mois d’hiver peut permettre des économies sur les coûts alimentaires, car vous pouvez récolter vos propres légumes pendant la saison froide. 

Protection des plantes avec un voile 

Un voile d’hivernage est une mesure de protection efficace pour vos plantes pendant les mois d’hiver. Il s’agit d’un tissu léger, généralement en polypropylène, qui est placé sur les plantes pour les protéger du gel. En plus de servir d’isolant, ce voile laisse passer la lumière, l’air et l’eau, créant ainsi un environnement propice à la survie de vos plantes même dans des conditions hivernales rigoureuses. Le prix d’un voile varie généralement entre 5€ et 20€ pour une surface de plusieurs mètres carrés. 

La méthode du paillage 

Le paillage est une technique de protection du sol qui offre de nombreux avantages en hiver. Cette méthode consiste à couvrir le sol autour de vos plantes avec des matériaux organiques. Cela inclut les résidus de tonte de gazon, les feuilles mortes, les déchets de taille broyés ou encore de la paille. Ces matières agissent comme une couverture, isolant le sol et les racines des plantes contre le froid. De plus, avec le temps, ils se décomposeront et enrichiront votre sol en nutriments. Pour obtenir les meilleurs résultats, pensez à pailler votre jardin après une pluie, afin de retenir l’humidité dans le sol. 

Utilisation de cloches en verre et de bouteilles d’eau 

Une autre solution pour protéger vos plantes du froid est l’utilisation de cloches en verre ou de bouteilles d’eau. Ces dispositifs, placés sur vos plantes, créent une sorte de « mini-serre » qui emprisonne la chaleur et l’humidité, préservant ainsi vos plantes des rigueurs hivernales. Ce sont des outils particulièrement utiles pour les plantes fragiles ou jeunes pousses qui ont besoin d’un peu plus de chaleur. 

Relocalisation des plantes 

Pour certaines plantes plus fragiles, le déplacement peut être la meilleure solution. Si possible, pensez à déplacer vos plantes en pots vers un endroit plus abrité comme l’intérieur de votre maison ou une serre. Cela permet de les protéger du froid et d’économiser sur les outils de protection tout en garantissant la sécurité de vos plantes. 

Baisser légèrement la température du chauffage et du chauffe-eau  

Autre pôle intéressant pour réduire votre facture d’électricité : le chauffage et la production d’eau chaude sanitaire. En baissant d’un petit degré ce type d’équipement thermique, vous pouvez réduire votre consommation de 7 %. Sachez que la température idéale pour une maison est de 19 °C ou 20 °C. Autre conseil : soigner l’entretien et programmer vos émetteurs de chaleur contribue à éviter la surconsommation.  

Utiliser les programmes éco au niveau de l’électroménager 

Sur les appareils électroménagers, il existe un programme « éco », notamment au niveau du lave-linge ou du lave-vaisselle. C’est une aubaine pour réduire vos frais et espérer réaliser une économie d’énergie. En effet, cette programmation se caractérise par un programme plus long qui utilise une eau moins chaude et qui vous permet d’utiliser 45 % d’électricité en moins !  

Éteindre au lieu de laisser les appareils en veille  

La multiprise à interrupteur est un accessoire de choix quand vient le moment de réaliser quelques économies. Selon l’Ademe, le fait d’éteindre vos appareils électriques, plutôt que de les laisser en veille, vous fait profiter d’une économie allant jusqu’à 15 % sur votre facture. Machine à café, télévision, box internet, l’ensemble de ces équipements peut être éteint durant vos déplacements.   

Gérer au mieux l’ouverture et la fermeture des volets  

Surprenante et pourtant bien pratique, la gestion de vos volets peut vous faire bénéficier d’une baisse de votre consommation énergétique. La journée, ouvrez l’ensemble de vos volets et laissez les rayons du soleil inonder votre intérieur. La nuit, prenez soin de fermer les ouvertures afin de réduire les déperditions thermiques ou la sensation de froid au niveau de vos fenêtres. Enfin, durant l’été, pour conserver un maximum de fraîcheur, n’hésitez pas à laisser vos volets fermés pour empêcher la chaleur de pénétrer votre habitation.  

Le bonus réparation, c’est quoi ? 

Créé dans le cadre de la loi anti-gaspillage pour une économie circulaire (AGEC), le bonus réparation vise à encourager une consommation plus responsable en prolongeant la durée de vie de nos objets.  

Initialement prévu pour les appareils électroniques, ce dispositif a été étendu aux vêtements et aux chaussures grâce à Refashion, un éco-organisme privé à but non lucratif agréé par les pouvoirs publics, qui représente la filière textile d’habillement, linge de maison et chaussures.  

Le principe : une aide est directement déduite de votre facture lors du reprisage d’un produit chez un réparateur labellisé. Le montant de cette aide, qui ne peut pas excéder 60 % de la facture, s’applique uniquement aux réparations d’un coût supérieur à 12 €. Cette initiative vise à inciter les Français à adopter des habitudes de consommations écologiques en luttant contre le gaspillage et favorisant l’économie circulaire. 

Les données selon l’IFOP 

Selon une étude de l’institut d’études opinion et marketing IFOP pour Refashion, 83 % des Français se disent prêts à faire réparer leurs vêtements ou leurs chaussures. Cependant, 73 % (soit près de 3 sur 4) admettent s’être déjà débarrassés d’un vêtement ou d’une paire de chaussures qui nécessitait seulement une réparation. 

La consommation de textiles et de chaussures ne cesse de grimper en France, atteignant 826 935 tonnes de textiles achetées en 2022, soit 400 millions de pièces supplémentaires par rapport à 2018.  

Dans ce contexte, le bonus réparateur joue un rôle essentiel. Ce dispositif contribue à limiter l’empreinte écologique des consommateurs en les incitant à adopter des pratiques et un mode de vie plus responsables, et en leur permettant de réaliser des économies. 

Quels types de réparations sont possibles et à quel prix ? 

Les bonus varient entre 6 et 25 euros, qui sont directement déduits du prix final de la réparation ; de quoi ravir le client, car il n’aura aucuns frais à avancer. De plus, ces bonus sont cumulables, si un article a besoin de plusieurs réparations, les déductions s’additionnent (toujours dans la limite de 60 % du montant total de la facture). 

Pour les chaussures : 

• 7 € pour le remplacement de l’embout du talon 

• 8 € pour faire poser des patins 

• 8 € pour faire recoudre ou recoller 

• 18 € pour faire ressemeler une semelle en gomme, 25 € pour une semelle en cuir 

• Entre 10 € et 14 € pour remplacer le zip (selon la longueur) 

Pour les vêtements : 

• 7 € pour faire réparer un trou, un accroc ou une déchirure 

• 6 € ou 8 € pour une couture défaite 

• 10 € ou 25 € pour le remplacement d’une doublure (en fonction de la complexité) 

• 8 € ou 18 € pour changer une fermeture éclair 

Il est important de noter que le bonus est valable uniquement sur les réparations. Il ne s’applique pas sur les retouches visant à ajuster la taille d’un vêtement. 

Par ailleurs, tous les vêtements ne peuvent bénéficier du bonus réparateur ; ainsi, ne sont pas éligibles les sous-vêtements ; les vêtements en cuir ou en fourrure naturelle ; les sacs ; les ligne de maison ; les déguisements ; ainsi que les vêtements techniques de sport à usage non quotidien (c’est-à-dire, les tenues de plongée, les crampons, les kimonos…) 

Trouvez les cordonniers et retoucheurs labellisés près de chez vous. 

 

Pourquoi vous séparer de vêtements que vous appréciez alors qu’il est possible de leur offrir une nouvelle vie ? C’est toute l’ambition, à la fois économique et écologique, portée par le bonus réparation textile ! 

Elles profitent du froid pour se renforcer et nous offrir de beaux légumes au printemps. C’est une belle occasion de leur faire comprendre que la nature est toujours en action, même quand on ne la voit pas, et de leur donner une leçon de sciences amusante et éducative. 

Étape 1 : Récupération des graines 

Pour le jardinage d’hiver, les épinards, les poireaux, les carottes, les petits pois, les brocolis et les choux sont d’excellents choix. Après avoir consommé ces légumes, récupérez-en les graines et nettoyez-les délicatement sous l’eau. Ensuite, placez-les sur du sopalin et laissez-les sécher à l’air libre dans un endroit sec pendant quelques jours. C’est un moyen économique de jardiner puisque vous évitez l’achat de nouvelles graines qui peuvent coûter entre 2 € et 5 € le sachet. 

Étape 2 : Faire germer les graines 

Ensuite, il est temps de faire germer ces graines. Placez-les sur du coton humide dans une assiette ou un petit bol. Recouvrez d’une autre assiette ou d’un torchon, pour maintenir un environnement humide et chaud. Vérifiez quotidiennement que le coton reste humide et, en quelques jours, les graines commenceront à germer. 

Étape 3 : Recyclage de pots 

Une fois que vos graines ont commencé à germer, il est temps de préparer les récipients pour la plantation. Utilisez des pots de yaourt vides, des bouteilles en plastique coupées en deux ou des boîtes de conserve nettoyées. Recycler vos emballages ménagers permet de ne pas investir dans des pots plus onéreux vendus en magasin. En plus d’économiser de l’argent, vous donnez une seconde vie à ces emballages, ce qui est bénéfique pour l’environnement. 

Avant de planter les graines, c’est le moment de laisser la créativité de vos enfants s’exprimer. Invitez-les à décorer les pots avec des feutres, des autocollants ou de la peinture. N’oubliez pas de pratiquer quelques trous au fond pour l’évacuation de l’eau avant de remplir les contenants de terreau. 

Étape 4 : Plantation des graines 

• Épinards : Remplissez votre pot de yaourt de terreau, pratiquez un petit trou au centre, placez-y la graine germée et recouvrez-la de terre. Arrosez légèrement tous les deux jours, idéalement tôt le matin ou tard le soir. 

• Poireaux, carottes, petits pois : Ces légumes nécessitent plus d’espace, donc privilégiez les bouteilles en plastique ou les boîtes de conserve. Le processus de plantation et d’arrosage reste le même que pour les épinards. 

• Brocolis et choux : Ces légumes réclament encore plus d’espace. Utilisez des contenants plus grands, comme des seaux en plastique recyclés. Ces légumes ont besoin d’un arrosage régulier mais modéré. Veillez à garder la terre humide, mais sans excès d’eau.  

Une fois les graines plantées, il est important d’établir une routine de soin avec les enfants. Cela peut inclure l’arrosage des plantes à des moments précis de la journée, la vérification de la croissance des plantes et l’observation des changements. 

 

Le jardinage en hiver offre l’occasion non seulement d’enseigner à vos enfants d’où vient la nourriture, mais aussi d’économiser sur les dépenses alimentaires. Cultiver des légumes pendant la saison froide peut vous permettre d’économiser entre 10 € et 50 € sur plusieurs mois, en fonction de la consommation de votre famille. 

Chassez les bonnes affaires 

L’un des meilleurs moyens d’économiser sur votre calendrier est de profiter des promotions saisonnières. De nombreux magasins proposent des rabais sur de petits articles qui peuvent facilement être utilisés dans votre calendrier de l’Avent : chocolats, mini produits de beauté, accessoires de cuisine, jouets, etc. N’hésitez pas à explorer des plateformes comme Vinted ou Leboncoin, où vous pouvez dénicher des objets à prix réduit. Ces sites regorgent d’articles neufs ou presque neufs, parfaits pour remplir vos cases de façon économique et originale. 

 

Faites preuve de créativité 

Plutôt que de remplir votre calendrier uniquement avec des articles achetés, pourquoi ne pas y inclure des éléments faits maison ? Des cartes personnalisées, des bons pour des activités (comme un cinéma en famille ou une soirée jeux de société), ou même des recettes gourmandes à préparer ensemble peuvent être tout aussi excitants que des cadeaux physiques. L’essentiel est de varier les plaisirs pour surprendre chaque jour. 

 

Réutilisez et recyclez 

Penser à long terme peut également vous faire économiser. Investissez dans un calendrier de l’Avent réutilisable en tissu, en bois ou en papier cartonné que vous pourrez garnir chaque année avec de nouvelles surprises. En fabriquant ou en achetant un modèle solide, vous réduisez vos coûts pour les années suivantes et vous adoptez aussi une démarche plus écologique. 

 

Choisissez des thèmes adaptés 

Un moyen de réduire vos coûts tout en rendant le calendrier de l’Avent plus personnel est de choisir un thème unique qui correspond aux goûts de la personne à qui il est destiné. Cela permet de personnaliser chaque surprise tout en maîtrisant votre budget. Voici quelques idées de thèmes : 

• Lecture : Incluez des marque-pages faits maison, des citations inspirantes, des extraits de livres, ou même des conseils de lecture pour les amateurs de littérature. 

• Cuisine : Proposez des recettes de saison, des petits ustensiles de cuisine, ou des sachets d’épices. Vous pouvez également glisser des bons pour des activités en cuisine, comme préparer des biscuits de Noël en famille. 

• Bien-être : Offrez des échantillons de soins (savons, crèmes), des masques pour le visage faits maison, des bougies parfumées, ou encore des bons pour un moment de détente, comme une séance de massage ou de méditation. 

• Loisirs créatifs : Remplissez le calendrier avec du matériel de loisirs créatifs (perles, fils à tricoter, papiers décoratifs) pour encourager les projets DIY. Ajoutez des idées de projets créatifs à réaliser pendant les fêtes. 

• Cinéphile : Insérez des citations de films, de petits objets en lien avec des classiques du cinéma, ou des bons pour des soirées films à la maison, avec du pop-corn maison inclus !

 

Faites participer toute la famille 

Enfin, pourquoi ne pas transformer la création du calendrier en activité familiale ? Chacun peut proposer une idée ou créer une petite surprise pour l’autre. Cela ajoute une dimension participative et ludique à l’expérience, tout en réduisant les frais liés aux achats puisque chaque membre de la famille contribue à la réalisation des surprises. 

Créer un calendrier de l’Avent à moindre coût est tout à fait possible en planifiant, en faisant preuve de créativité et en impliquant les autres membres de votre foyer. L’important n’est pas la valeur financière des cadeaux, mais bien le plaisir et la surprise qu’ils procurent chaque jour.